Fulbert Letitilleur

Nom: Fulbert Letitlleur
Surnom: le pècheur de morts, Le noctambule, Le faucheur d'orages, capitaine

Karma: Letitilleur ne vit que pour accomplir sa dernière quête. Il est fidèle à la mers mais à personne d'autre. Il trompe, trahis profite et exploite tous ceux qui peuvent s'avérer lui être utiles. Les seuls êtres à profité de son caractère plus jovial son les douzes nains qui manooeuvre à son bord. En d'autres temps il n'est ni respectueux ni honorable.

Descrition physique: Le teint verdâtre, la peau luisante les cheveux huileux et clairsemés par l'âge plus qu'avancé, le noctambule porte son regard centenaire chargé de suspicion et de haine envers tout ceux qui ont la chance de le croiser lors d'un noffrage. Les os de ses mains sont visibles à travers ses gants et une redoutable odeur d'humidité l'accompagne. N'ayant plus une seule dents, ils porte une dentier en fer complètement rouillé. Ses ongles sont noirs et ses joues creuses montrent une stupéfiante carrence alimentaire. De taille modeste et de gabarit négligeable, le capitaine n'en est pas moin redoutable par sa présence pluri-décénique. Son regard olive vous transit, se cheveux de neige font transparaître l'inéluctabilité de la mort et sa voix rauque, sinistre, autoritaire, douloureuse et ennivrante fait parraître ses marchés comme la providence.

Équipment: De pied en cap le capitaine inspire la peur et la méfiance. De vielles bottes de cuir noircies par l'eau et les marées lui font office de chausses. Un pantalon grisâtre épouse la forme rachitique de ses cuisses où siègent "ogre", son sabre d'abordage aux teintes corbeau, et "plume de fin", son fleuret finement affuté dont le pommeau est à l'éfigie d'un crâne humain. Il porte trois ceintures à la taille où sont accrochés une bourse au contenu obscur, un pendentif à la signification inconnue, une flasque dont le breuvage ressemble à du goudron et une flute d'ébène dont le son retentissant dans la nuit indique une apparition de son propriétaire deux fois né. Une redingotte grise foncée trône sur ses épaules et plusieurs colliers s'entassent autour de son cou. un foulard noir est noué à sa gorge rachitique surmontée par l'un des visages les plus craint de l'archipel. Dans ses cheveux sont tressées plumes et boules de bois ornemaentales et le sinistre tricorne dominant cet imposant personnage semble avoir connu plus d'orages que les plages de l'île du primate volant.
Le pècheur de morts est aux commandes de l'un des plus renommé vaiseau de guerre de l'histoire de l'archipel:Le Geolier. Cet imposant galion est un soixante quatorze canons aux voiles rouges.
À la proue trône une femme enlacée dans les bras d'un démon.Ce vaisseau se trouve en permanence dans l'oeil d'un petit typhon qui, selon la colère de son capitaine peut parfois prendre de l'empleur. Cet orage est le linceul du navire. Le typhon se reconnait facilement car les nuages qui l'accompagne son d'un noir violacé. De plus, le navire possède sa propre volonté et est le second du capitaine. Il s'amuse souvant à jouer des tour aux marins et à raporter leur moindre fait et gestes au capitaine. L'équipage est constitué de soixante marins tous plus malodorants les uns que les autres. Le corp d'élite de cet équipage reste les douzes nains qui sont en outre les hommes de confiance du seul maître à bord.

Style de combat: Letitlleur se bat avec ses deux lames "Ogre" et "Plume de fin" en parfaite harmonie. Il attaque sans réserve tout en se créant d'abominables ouverture pour porter des coups mortels à l'adversaire. Par contre lorsqu'il est sous l'inflence d'un pacte, il devient un escrimeur d'exception ne laissant pas la moindre chance à ses adversaires.

Caractère: Ne vivant plus que sur les flots, Letitilleur n'est pas foncièrement agréable. N'hésitant pas à faire passer par dessus-bord un matelot arrogant, il n'en reste pas moin sévère et direct. Son tempérament instable et colérique le transforme à l'occasion en sinistre présage de fin du monde. Il n'est pas pour autant injuste et tyranique. Il se contente d'appliquer une justice ferme et parfois excessive à son bord. Il rit à la face de l'empire, se moque de ceux qui se croient être des pirates, mais respecte ceux qui ne vivent que pour la mers. Il n'est pas très patient, mais sait faire preuve d'audace, de mesquinerie et de prévoyance.

Forces: Le faucheur d'orages ne peut pas mourir, à son plus grand regret. Si il est démembré, il ira retrouver ses extrémités manquantes sans esquisser le moindre râle de douleur. Si il prend en feu il éteindra les flammes où elles s'éteindront d'elles mêmes. Fulbert Letitilleur est un mort vivant extrêmement puissant dont les origines remontent à plus de trois générations. Son navire ne peut être vut que lors d'une tempête et ne peut donc pas être prit en chasse facilement. Tant que le noctambule est à la bare il reviendra toujours si il est détruit, brûlé, coulé ou pulvérisé par un sort. Ce navire possède sa propre volonté et aide Letitilleur dans toutes ses manoeuvres.Letitilleur peut, à l'aide d'un instument astronomique, trouver les victimes de naufrages en pleine mer. Cet instrument n'a que la faculté d'indiquer la direction des gens en danger pas de les ramener à bord. Letitlleur est un bretteur d'exception et un stratège hors du commun. C'est également un marin ne souffrant aucun rival. Il a le verbe facile et le mot juste. C'est un fourbe dans l'âme. Il est surtout immortel, ce qui lui procure un avantage substantiel sur moult de ses adversaires. Il parle avec les vents et se plaint qu'ils ne disent pas toujour la vérité. Il arrive parfois à les convaincre de certaines besognes...

Faiblesses: Le faucheur d'orage ne peut pas aller à terre. Si il foule le sol de l'archipel, il se liquéfie et reprend forme "humaine" une fois revenue sur son navire. Sous cette forme liquide, il peut se mouvoir à sa guise et ressemble en tout points à de l'eau de mers.Il ne peut pas parler sous cette forme. Si il est transporté sur l'archipel il se liquéfie aussîtôt. Ce n'est pas de marcher sur la terre qui le transforme, mais bien le fait de s'y trouver. Si il veut se rendre sur l'archipel, il doit faire un pacte avec un volontaire qui lui donnera un peut de son essence vitale, diminuant par le fait même la durée de sa vie proportionnellement à la durée du séjour sur les îles que pourra effectuer le capitaine damné. Donc si le volontaire, d'habitude un naufragé, offre un mois de sa vie au capitaine, et bien ce dernier pourra se rendre sur l'archipel pendant un mois. Pendant la durée du pacte, le "volontaire est considéré comme le capitaine du geolier et profite de tous les bénéfices sauf de pouvoir échanger du temps avec un "volontaire". Le substitu ne peut en aucun cas se rendre sur les îles sans être détruit mettant ainsi fin au pacte. Le capitaine quant à lui, vit comme un humain. Si il est tué en apparence humaine, il se tranforme en flaque mouvante, retourne inconsciement à son navire et reste dans cet état jusqu'à la fin du pacte où il reprend alors son apparence normale. Peut importe la façon dont le pacte se termine, si le capitaine est sur les île à cet instant, il prend la forme d'une flaque et retourne à son bord. La plupart des "volontaires" du passé font partie de son équipage. En outre Fulbert doit constament être mouillé. Sans cela il devient extrêmement faible et peut même perdre connaissance si il est sec et cela même lors de sa forme humaine durant un pacte. En outre Fulbert est très sensible à la vue du frommage. Lors de sa vie mortelle, il était allergique aux produits laitiers. Depuis sa damnation, il n'a plus besoin de manger alors il ne sait quels seront les effets du frommage sur son corps "mort". Il en à donc très peur. Il fuit à la simple vue de se produit culinaire. Également, il arrive que les marins faisant parti de son équipage tente de lui mettre des bâtons dans les roues. De plus, son navire à parfois besoin de se reposer. Il doit donc effectuer des haltes en pleine mers pour lui laisser le temps de récupérer. De plus, si quelqun vient à déloger le coquillage ancestral de son socle, la malédiction se rompt envoyant le "Geolier" et son capitaine dans la mort. Problème, comme nombre de choses, Fulbert ne se rappel plus où se trouve la grotte immergée. Cette amnésie est due à son âge plus qu'avancé et est parfois la cause de petits malentendus que son navire doit vite régler, car se dernier ne perd pas la mémoire, lui...En addition, Fulbert peut être convoquer avec son navire grâce à un sort d'une rare puissance. Lorsqu'il est convoqué, il ne peut être délivré que lorsque l'invocateur s'endort. Entre temps, il ne peut lever la main sur l'invocateur, doit obéir à ses ordres et répondre des actes de l'invocateur. Alors si le lanceur de sort capture une femme enceinte et lui arrache toutes les côtes pour pouvoir lancer un sort, Fulbert devra porter le chapeau. L'invocation ne peut être performer que par quelque rares individus faisant partie d'un ordre d'enchanteurs nommé: L'ordre. L'ordre est une société secrète très fermée et ses membres sont tous plus discrets les uns que les autres et tous connaissent le moyen d'invoquer le faucheur d'orage.


Aime: Un bel orage bruyant. La mers et ce par dessus tout.Jouer de la flute. Parler avec son navire. Ceux qui jouent de la musique sans savoir pour qui ils la jouent.

N'aime pas: Les journées de grands soleil. L'empire, mais surtout les commodores. Se perdre. Qu'on se moque de lui. L'ORDRE.

Histoire:C'est il y a plus d'un siècle et demi qu'est venu au monde le faucheur d'orages. À l'époque on pouvait encore aller et venir à sa guise entre l'archipel et le continent. C'est attiré par les richesse des navires impériaux que le pècheur de mort à débuté sa carrière dans la flibuste. Rapidement, il devint riche et aquit le titre de capitaine de son propre navire "La Jacqueline" en l'honneur d'une femme dont il s'était éprit à l'époque.
Vint alors son plus féroce rival. Partout où il allait, à chaques villes où il se rendait, à chaque trésor qu'il convoitait, à chaques bouteilles de rhum qu'il commandait, à chaque femmes qu'il... et bien son rival y était passé avant lui. Orellon fut l'épée de damoclès de Fulbert et pendant de nombreuses années ils se firent la guerre en toute chose: honneur, trésors, navires, femmes, pèche à la ligne...Vint un soir où les deux hommes se battaient à mains nues sur une plage. Sur cette plage les deux hommes se batirent toute une nuit sans qu'aucun vainqueur ne soit déclaré. Au matin, exténués et à bout de force, les deux hommes tombèrent sur la plage, face contre terre. La marée fit ressugir un superbe coquillage de la taille d'un torse humain... Un monument de la culture marine. Les deux hommes argumentèrent de nombreuses heures pour déterminer à qui devait appartenir le conche cyclopéen. Ils allèrent en débattre dans une taverne où un viellard en loques leur assura qu'il s'agissait d'une clé pour libérer un trésor d'une valeur innstimable. Se saisissant du précieux artéfact, Fulbert s'en servit pour assomer son rival et prit la fuite derechef pour rejoindre son navire.
C'est après d'âpres rcherches que Fulbert fini par trouver la grotte où devait être le trésor. Au fond de cette grotte se trouvait un autel à une divinité oublié. Sur cet autel on pouvait y lire:
C'EST AU NOMBRE DES VENTS
QUE TU TROMPE LE TEMPS
POUR FAIRE REVENIR CELLE
QUE LES MARINS APPELENT

Fulbert inséra la clé dans un orifice sans doute prévu à cet effet et attendit que lui soit présenté le trésor. En lieu et place, la terre s'ébranla et les murs se mirent à trembler. La grotte semblait être soudain en train de s'immerger alors que son entrée se refermait graduellement.
De justesse, le capitaine s'extirpa de la tombe aqueuse et rejoint son navire la rage au coeur, insatisfait de n'avoir trouver en ce lieu qu'un piège qui avait faillit lui couter la vie. Pourtant, ce dernier était loin d'être le plus redoutable que le destin lui tendit. Orellon avit lancé sur ses trousses deux commodores et leurs imposants navires amiraux vinrent barer la retraite de Fulbert alors qu'il tentait de rejoindre la mers. La bataille fut brève et la "Jacqueline" fut mise en pièce emportant avec elle son capitaine trahis par les hommes et le destin. La mers enveloppa de son linceul tout l'équipage, ne laissant le moindre survivant remonter à la surface.
Dans la mort, Fulbert se vit offrir une seconde vie. Cette vie, c'est l'esprit de la mers, reine des marées, mère des pleurs qui lui redonna . En échange de sa vie, Fulbert devrait retrouver les trois coquillages manquant et les rapatrier à leur temples respectif. Il deviendrait la bras de la mers, toujours en quête du trésor pouvant ramener cet esprit à la vie. Cet esprit dont la forme se gravit en sa mémoire comme une femme sublime aux cheveux longs comme une cascade lui offrit l'immortalité le temps de sa quête. Par contre il ne pourait aller sur l'archipel qu'en passant de sombre pactes et devrait naviguer sur les mers sans jamais pouvoir mourir.
Ainsi le capitaine ressurgit des flots à bord d'un navire aussi vivant que lui, un navire ne craigant plus les orages ni la fureur des combats. Un navire plus puissant que la foudre, un monument de puissance marine. Le "Geolier" était né et son plus fidèle prisonier était à sa barre. En échange d'une exitences tourmentée, le faucheur d'orage se vit offrir une vie de fantôme. Condamné à errer à la recherche des trois coquillages manquants avec comme seul arme l'éternité.
Depuis 120 ans il recherche les coquillages manquants à travers l'archipel répendant la terreur sur son passage. Il arpentes toutes les îles, tous les îlots, chaques villes, chaques marchés, chaques maisons à la recherche de sa libération pour qu'enfin il puisse rejoindre la mers. Qu'il puisse l'enlacer dans un balais éternel et enfin revoir les abysses de ses yeux, la promesse d'une éternité apaisée...

Influence de la malédiction: Pour Le pècheur de morts, cette malédiction est la plus réconfortante des bénédiction et souhaite que jamais elle ne soit levée. Car sans elle les coquillages se seraient éparpillés aux quatres vents.

Félix, tu m'impressionneras toujours. Tes idées sont d'un charme... Je ne comprends pas comment ce forum a fait pour se passer de ta poésie.

(très) ACCEPTÉ

et bienvenue

BIENVENU À BORD !!

J'adore !

Ma présentation étant rop longue voici donc...

Ingrédients pour l'invoaction:
-16 crânes de pyvlarum enduits de cire doré
-20 litres d'eau de mers
-un enfant humain de moin de trois semaine devant être tatoué avec du sang de fourmis géante des îles centrales les phrases:
C'EST AU NOMBRE DES VENTS
QUE TU TROMPE LE TEMPS
POUR FAIRE REVENIR CELUI
QUE LES MARINS APPELENT
EN ARRACHANT L'ULTIME CRIS
DES TENDRES PUCELLES
-trentes chandelles rouges disposées dans une circonférence parfaite
-un rubis de la taille du poing devant remplacer le coeur de l'enfant immergé
-le premier sang de trois vierges devant être violées durant l'immertion de l'enfant alors que les chandelles sont allumées l'une après l'autre.
-Finalement, le bâtiment dans lequel doit être performé le rituel doit être poursuivit par plus de trente fois le nombre de vierges requises pour l'enchantement et doit faire face à un maëlstrom.
Le rituel peut être suspendu par l'application du sceau maudit. le sceau est fait de:
-Une craie faite de souffre du volcan des îles centrales avec laquelle est tracé un pentacle enchâssé dans un autre aux dimensions suppérieures dans lequel doit être représenté un cerf strangulé par un poulpe.
-Le pentagramme doit être soupoudré par de la poudre d'os de crapeau bicéphale des îles indigènes, un mélange d'algues turquoises et de corail rose sechés au soleil de mars anisi que par du granit broyé par la mâchoire d'un shaman monoparental des îles indigènes.
-En outre, pour suspendre le rituel et en enfermer la puissance, l'invocateur doit réciter la méloppée suivante dans la langue des morts:
"Bloque, suffoque, reste à huits clos.
Que mon verbe soit ton maître
sans lequel tu reste,
stagnant dans les eaux troubles,
qui portent sans tenir,
la marée de ton retour."
-Pour relâcher la puissance du sceau, le rituel de scellage doit être reprit du début dans son intégralitée, mais doit être conclus par l'incantation suivante, toujours dans la langue des morts:
"Relâche, respire, retrouve les vents.
Que mon verbe soit ton maître
qui t'ouvre les portes,
battants sur les vastes mers
qui guident sans ramener"