Walter a Wertherborough

Le petit mais au combien fameux Walter DeMorteus, s'adonnant à être en quête de nouveaux ingrédients magiques, et passant près de l'île de Wertherborough, décida de s'y arrêter pour aller chercher quelques herbes qui lui faisaient défaut à son magasin. Son choix s'arrêta sur la ville de Wertherborough city, certes, il s'agissait d'un détour, mais Walter avait beaucoup de temps devant lui, mais malheureusement, pas encore assez...

Walter, allant faire le plein d'herbes et autres ingrédients spéciaux a Wertherborough, s'adonnait a passer par le marché. C'est a cet endroit qu'il fit des trouvailles inatendues, soit quelques herbes permettant de concocter un élixir servant a obtenir une haleine fraîche comme la rosée du matin et quelques autres ingrédients non-magiques rares.

Content d,avoir trouver ce qu'il voulait, Walter décida de s'asseoir un petit moment au pied d'un kiosque d'armes exotiques. C'est à ce moment qu'il vit un jeune homme s'approcher du kiosque et regarder les armes d'un air admirateur. Cet homme avait fier allure, il devait certainement s'agir d'un brave aventurier. C,est alors que ce dit homme s'adressa au commerçant à peu près comme ceci:

- «Ouais, c'est des belles armes que vous avez là ! il faudrait pas que vous fassiez voler hein !»

Le commerçant de répondre: «Je ne vois pas pourquoi je me ferais voler mon cher monsieur, je n'ai jamais rien fait de mal, j,ai toujours été un honnête commerçant.»

Cette conversation un peu inusitée avait capturer l,attention de Walter qui se surprit a jeter un oeuil au jeune aventurier. Celui-ci vit le geste du petit homme et ne sembla pas l'apprécier.

- «Qu'est-ce tu veux le petit, c'est pôs à toé que j'parle. Vas donc te faire voir ailleur !»

Walter réplica en gardant un air calme et serein la chose suivante:

-«Moi, à votre place, je ferais attention à ce que je dis, sinon ...»

-« Sinon quoi ?» dit: le jeune homme en agrippant walter par le collet et en le soulevant au niveau des sa tête.

À la vue du petit homme le commerçant se mit à rougir, il avait reconnu le petit homme pendant, les pieds au-dessus du sol.

-« ... ou sinon, vous pourriez le regrèter.» poursuivit Walter en glissant une main dans sa poche de rodingotte.

Avant d'aller voir si les prépararifs allait bon train pour son prochain voyage weber décida de passer dans la plaza pour voir si il avait pas des armes qui pourrait l'intéresser.En arrivant près des boutiques le colonel vit un homme qui par la force de ses bras levait un autre homme dans les airs.Agisant avec son instint de colonel, il coura vers eux pour essayer des arrêter avant que sa tourne au drame.

Arriver a leur hauteur il dit

'' déposez cette homme immédiatement''

Après cette phrase il se planta a côté de l'homme et lui envoya un regard très méchant et attendit qu'il réagisse

Walter vit l'homme vêtu d'habits militaires s'approcher des lieux de l'altercation et s'interposer entre lui et le fier-à-bras. Dieu que Walter déteste les militaires, surtout ceux à l'emploi de l'Empire. Après tout. il n,avait pas dutout besoin de se faire sauver, il allait justement lancé une poudre aveuglante et fort acide aux yeux de cet homme; Walter aurait bien apprécier ce moment. De plus, les militaires en ont gros sur le coeur à propos des hommes comme lui: qui ont recours à des arts occultes et bien souvent très peu orthodoxes. Alors, Walter se contenta de répondre comme suit:

- "Tout va bien mon cher, cet homme s'appraîtait justement à me poser au sol et à me faire des excuses à genoux pour m'avoir offenser de la sorte"

Walter dit cela d'un ton plûtot ironique en ressortant sa main de sa poche.

L'homme ne sembla pas apprécier la venu du militaire et encore moins la remarque du petit homme. son seul désir était de donner une bonne correction au petit insolant qui se moquait de lui depuis tout-à-l'heure. Il se contenta donc de répondre:

- "T'es qui toé pour venir me dire ça ?"

L'homme dit cela d'un ton tout a fait soumis et empreint de gentillesse ... Pas du tout en fait.

Après la remarque de l'homme qui été dans les airs weber s'était adoucit jusqu'a ce que l'autre lui disse Sa phrase qui provoqua un regain de colère dans le coeur du colonel.Sur son élant de colère le colonel prit son pistolet et le pointa sur l'homme même si il était pas charger car il voulais juste l'éffrayer et il cria

''Ses tu a qui tu d'adresse cher homme, Tu a pas le droit de d'addreser comme sa a un colonel et pour sa je pourrais d'envoyer en prison pour quelques mois''

Après ses mots le colonel resta dans cette position jusqu'a ce que l'homme comprennent l'empleur de sa phrase

L'homme, bien qu'avec rétissance, déposa doucement Walter sur le sol sous la pression de la menace du jeune colonel. Par contre, l'homme n'était pas né de la dernière pluie, il savait très bien que l'arme du militaire n'étais pas rechargée, il l'avait remarquer immédiatement. Il avait plûstot céder à la menace d'être jeter en prison par ce dernier.

Walter, lui, n'y connaissant rien en armes à feu, mais ayant beaucoup d'expériences avec elles, avait aussi vu que l'arme n'était pas chargée, cet homme n'était donc pas là pour l'éliminer, sa couverture tenait toujours. Walter se contenta de déplisser le col de sa rodingotte et de dire:

- "Vous avez été chanceux mon cher; si cet homme n'avais pas intervenu, vous seriez par terre en train de pleurer votre mère."

Walter dit cela avec un ton qui lui était bien propre, soit moqueur et sérieux à la fois, doublé de son fort accent Allemand.

L'autre homme se contenta de lancé un regard furieux en direction du petit homme et de s'apprêter à lui mettre son poing au visage, mais comme il leva le poing, il se rappela la présence du militaire et s,arrêta net, le momentum n,était pas avec lui, il devait attendre. Il se contenta de se retourner vers le militaire et de demander si il pouvait passer son chemin.

- "Désolé, mais j'ai autre chose à faire moé, vous permettez que je parte ?"

Après la courte remarque du petit homme et celle de l'autre homme le colonel, déposa l'homme et lui dit

''Tu peux partir mais ne recommence plus sinon tu vas aller en prison''

Après cette phrase William se tourna vers l'autre homme tout t'en renga son arme à sa ceinture. Le colonel prit un regard sérieurx et fixa l'homme et tout d'un coup il lui dit

''Puis-je savoir purquoi cette homme a essayé de vous agresser''

Après cette phrase William garda le même regard sur lui jusqu'à ce qu'ii réponde

(exellent, le francais est extrêmement mieux, merci.)

Wlater, étant à nouveau en contacte avec la terre, commença par retirer la poussière de sa rodingitte d'un revers de main, après tout, le mécréant et insolent aventurier avait les mains sales. Ensuite, Walter esquissa un petit sourir et regarda le colonel. et répondit comme suit:

"Ha! vous savez, de nos jours les gens n'apprécient plus que l'on les regardent, même si nous ne faisons aucune remarque, seulement les regarder."

Walter avait dit cette phrase avec son accent habituel. Par la suite, Walter ramassa son sac d'épaule toujours au sol, près du petit kiosque d'armes. Ensuite, il dit:

"Mais, puis-je savoir qui vous êtes mon cher monsieur ? Je crois avoir le droit de connaître le nom de mon sauveur !"

Après l'étrange mouvement de la main pour laver sa redingotte Weber écouta attentivement ce que l'homme lui dit. Après la fameuse phrase qu'il redoutait William, radoussit ses trait de visage et lui dit:


''Je m'appelle William Weber et je suis le colonel de la garde personelle de sa majesté''

En disant cela le colonel effectua une révérence comme si il avait saluer quelqu'un d'important

Après le mouvement bizarre Le colonel se releva et lui demanda a son tour

''Puis-je savoir le nom de la personne que j'ai sauvé ?''

Walter ne fut pas surpris de la révérence du militaire; après tout, tous les hommes devraient le saluer de cette manière, malheureusement, ils ne le faisaient pas à cause de la réputation des enchanteurs. Ha que Walter aimerais pouvoir assouvir le peuple en entier.

"Et bien moi, je suis Walter DeMorteus, un humble herboriste d'Éclipse en quête d'herbes médécinales."

Walter retourna ensuite dans ces fabulation mentales, tout en demeurant sur place. Il semblait simplement être en transe: Regard vide, immobile au centre d'une foule.

Après la phrase de Walter Le colonel fut surpris par son manque de civiste car juste après avoir dit son nom et de son emploi Walter était allé dans un espèce de transe que William considéra comme un mouvement habituelle dans sa vie. Le colonel lui demanda

''Je pourrais peut être vous aidez a trouver ce que vous avez besoin pour faire vos petites potions''

Après cette phrase William planta son regard dans celui de Walter. Il pouvait l'aider car il avait toute la journée a lui donner