Une visite

William se reveilla plus tôt qu'a l'habitude après s'être habiter il sorti de la maison pour aller visiter le port de la ville. En marchant dans les rues il aperçu plusieurs gardes qui étaient en train de faire leurs tour de garde habituel et il les salua d'un geste de la main. Rendu au port, William se diriga vers son bateau qui étais un trois mats de taille moyenne et qui pouvais contenir vingt personnes.Il étais peinturer d'une couleur bleu foncé ses toile étais de couleurs noir pour qu'il puisse le reconnaitre en temps de guerre sur le bateau il avait une petite pièces ou on pouvait ranger des équipements ou de l'or et juste a côté il avait la chambre du capitaine qui étais constituer d'un lit, d'une commode et un coffre qui contenais ses affaires personnelles et qui étaient fermés à clé. Il décida d'aller voir sur le bateau si tout allais bon train pour son prochain voyage en mer. Après avoir fait une brèves visite de son bateau il décida d'aller marcher sur le bout du port pour se détendre car les jour passé avait été éprouvant pour le colonel Weber et il sorti son pistolet pour le faire tourner dans ses mains tout en regardant la mer au loin

Un appel à l'aide déchira l'ambiance tranquille de cette matinée jusque là sans histoire.

"Au voleur! Au voleur! Rendez moi ma bourse et mes vivres." criait une bourgeoise désemparée. "

Une sombre figure à capuche se distingua un instant puis disparut dans le dédale de rues du quartier portuaire, la direction semblait le quartier modeste de la ville.

Deux gardes, certainement pas les plus expérimentés, se lancèrent à la poursuite du badaud.

En attendant ce crie William ce retourne et vit un court instant la personne qui s’enfuyait avec quel que chose entre les mains. Suivant son instinct de garde il décida de poursuivre le bandit dans les petites rues du port. Arriver a la hauteur des deux gardes qui avaient commencer la poursuite il leur demanda

”Que c’est t-il passé”

Les deux gardes répondit

”Cette homme a volé le sacs de la bourgeoise ”

Sur ses mots Le colonel accéléra le pas de course pour pouvoir rattraper le fugitif rendu près de lui il lui cria

”Arrêter vous immédiatement”

[Une prochaine fois, t'es pas supposé jouer les pnj, laisse-moi les jouer] Le fugitif, voyant qu'il se faisait rattraper, décida d'utiliser sa grande agilité à son avantage. Il se hissa jusqu'à un toit peu élevé, puis il sauta jusqu'à une corniche (celle d'un toit voisin), légèrement plus élevée. Le voleur ne semblait pas prêt à se laisser prendre de sitôt. Le poursuivant devrait pourtant faire attention, puisqu'il lui est possible distinguer une dague dissimulée grossièrement dans les pans de sa veste.

Voyant le mouvement du fugitif weber décida d’en faire autant il entreprit d’escalader la maison pour pouvoir rattraper le voleur. Le colonel eut énormément de misère a cause de son équipement et de sa force physique. Après quelques minutes de dure labeur William réussit a escalader le mur pour arriver sur le toit il vit le fugitif sauté vers une corniche voisine sachant qu’il ne pouvait pas sauté jusque la. Il décida de charger son pistolet pour essayer de tirer le fugitif dans le pied. Après avoir charger son pistolet il tira une balle un direction du fugitif espérant l’atteindre au pied.

Un second cri déchira la tranquillité matinale, cette fois, c'était le retour du balancier, car l'exclamation de douleur provenait du malfaiteur de tout à l'heure. En homme d'expérience, Weber eut tôt fait d'envoyer le malfrat au tapis... et peut-être plus qu'il ne l'aurait voulu. En effet, le tir précis de Weber atteignit le talon du larron, ce dernier trébucha alors qu'il s'apprêtait à sauter jusqu'à un autre toit. Le résultat n'est autre qu'une chute du deuxième étage. Lorsqu'on s'approche du corps, on aperçoit rapidement une flaque de sang ainsi qu'une tête reposant dans un axe anormal par rapport au cou. En regardant encore un peu plus près, il devient évident que la silhouette encapuchonnée cachait un jeune gaillard de 15 ans tout au plus...

Après avoir vu le malfeiteur tombé du toit weber s'empressa de descendre pour aller voir si il était mort.Rendu a quelques mètres de lui il fit une flaque de sang au niveau de sa tête.Arriver a son corps le colonel jeta un coup d'oeil sur le corps et le tourna sur le dos pour regarder a quoi weber avait a faire.Il fit surpris de voir un garcon qui avait l'air si jeune en voyant sa il fit pris d'un sentiments de culpabilité il se releva et prit la petite bourse et la cacha dans sa redingote et attendit les autres gardes pour savoir ce qu'on allait faire avec le corps

À la vue du cadavre gisant aux pieds de William Weber, un des deux gardes vomit sans crier gare. C'était assurément un garde sans grande expérience. Le second, plus sûr de lui, cracha sur la dépouille.

"Ne t'en fais pas Will, de la vermine en bas âge, ça reste de la vermine. Foutons ça bien enfoui sous un tas de déchets, c'est pas comme si c'était la première fois qu'on faisait ça. On dira à la vieille croûte que le faux-jeton s'est enfui" dit le garde, peu préoccupé par un quelconque sens de l'honneur.

Fouillant le jeunot, le garde du nom d'Elliot sembla plus préoccupé lorsqu'il s'enquit de questions "plus importantes". "Où est le magot?" demanda-t-il, inquisiteur.

Après l'arriver des deux gardes le colonel resta très muet et regardais ce cadavre avec un certain remords. A l'arriver des deux gardes le colonel Weber dit

”Ses moi qui a le magot et ses moi qui va remettre le magot a la bourgeoise vous occupez vous du corps et après ce travail fait aller faire un rapport au château”

Sur ces mots il quitta les lieux du crime d'un pas lent pour aller retrouver la bourgeoise dans le petit village portuaire

La soudaine autorité du colonel prit Elliot de court. Un malaise se lisait aisément sur son visage. Il venait de comprendre quel poste d'autorité détenait William Weber. Jamais il n'avait compris qu'il était colonel, surtout qu'un colonel... ne ferait jamais de ronde dans un quartier comme le port. Il fallait croire que celui-ci était particulier, et honnête... trop selon Elliot qui n'a pas pu toucher un centime des pièces de la dame. La mine emplie d'insatisfaction, il se redressa, et fit un garde à vous, en signe qu'il allait faire son rapport au contrôle de la milice.

après les mots de son subordonné, Weber fonca directement vers le quartier portuaire pour pouvoir remettre le magot a la dame. Rendu au quartier, William chercha la dame des yeux, mais ne la vu pas . Il décida donc de l'attendre et de s'assoir sur un banc. Picqué de certaine curiosité, il sorti le petit magot et regarda dedans pour voir si il y avait quelques chose d'intéressant. Voyant qu'il n'y avait rien de très intéressant il referma la bourse et attendit la dame.

La bourgeoise revint quelques minutes plus tard, désemparée, jusqu'à ce qu'elle aperçoive le vaillant et honnête colonel qui venait de rattraper le malfaiteur et, lui ayant repris ce que le malfrat avait si honteusement volé, venait le remettre à son propriétaire.

La femme, assez agée, s'exclama:"Vous l'avez eu! Vous avez retrouvé ma bourse! Je vous suis extrêmement reconnaissante, d'autant plus que mon homme ne m'en donne qu'une seule bourse comme celle-là par jour. (La bourse doit contenir une bonne centaine de piécettes dorées) Gérard n'aurait pas été content d'avoir à m'en donner une autre comme celle-là. Je peux finalement faire mes emplettes en paix. Merci monsieur merci merci merci! Vous serez certainement promu bientôt, un garde du port faisant si bien son travail. (Elle ne remarquait probablement pas le poste important que tenait William)."

Sans même laisser de temps au colonel de répondre, elle enchaîna.

"Vous savez, mon mari est vendeur d'objets d'arts de grande valeur, il pourrait vous engager pour que vous lui enleviez une véritable épine du pied. S'il vous plaît! Acceptez monsieur le garde!"

En voyant la dame arriver avec un air bizarre il sut que la bourse qu'il venait de reprendre était importante a ses yeux. Ses pour cette raison que le colonel décida de l'écouter dans ses propos jusqu'a temps quelle disse un phrase intérrensante pour lui. A la fin du discour de la dame il lui demanda

"Quel serais le travail que son mari voudrait lui faire faire "

Sur ses mots weber pris un position décontracté et attendi la réponse de la dame

" Vous savez, mon mari est un homme important et il déteste que je me mêle de ses affaires. Si jamais je vous en parle moi-même, il me battr.. je veux dire il ne sera certainement pas très content. Monsieur, j'ai trouvé en vous un être aux qualités plus que remarquables, et l'honnêteté est la principale que mon mari recherche pour ce qu'il veut vous faire faire."

Cherchant l'approbation dans le regard de ce qui semblait à la dame un garde de bas-étage, elle poursuivit:

" Si vous pouvez vous absenter pour un jour ou deux de votre travail régulier, mon mari vous paiera grassement, bien plus grassement que n'importe quel garde régulier faisant des rondes dans un port sans intérêt pourrait vaguement s'imaginer recevoir. Je vous en prie, acceptez de me suivre."

Elle amorça un mouvement de hanche telle qu'une bourgeoise (tentant d'imiter les femmes de la cour) devrait le faire pour faire volte-face et se diriger vers la plaza.

Le colonel écouta la dame parler avec un air très distrait,mais,il fut surpris d'entendre la dame dire qu'il pourrait recevoir une grosse somme d'Argent si il acceptait le travail qu'elle avait a lui offrire.Il pensa a l'offre quand la dame décida de se tourner et de marcher vers la plaza avec un déenchement qui intéressa énormément le colonel même si il savait qu'elle avait un mari il pensa

*Je pourrais peut-être la courtisé*

Perdu dans ses pensé ul suivit la dame avec un docilité qui venait pas de lui